Il met en scène l’hédonisme lyrique chez Offenbach. C'est l'histoire de la préparation d'un repas dans l'attente d'un mari qui ne viendra pas, alors à mi-spectacle, la protagoniste complément ivre, décide de prendre des amants.
Le ton est gai ; la musique allante.
Le chant et la musique, alliés à une implication théâtre omniprésente sont ponctués de changements de costumes chorégraphiés sur des musiques orchestrales.
Se succéderont entre autre : un défilé d’amants presto, le prélude de la fruitière au marché des innocents, une escapade désaltérante à l’aube des temps, une scène de jalousie sur fond de griserie, des quiproquos amoureux, le dessert et le thé chinois du dénouement…
Le spectacle peut suivre ou précéder un repas, il est évidemment cohérent de le proposer pour un apéro-concert, lors de la semaine du goût en octobre ou durant la fête de la gastronomie en mars.

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Le répertoire  

du marché à la dégustation en passant par les préparatifs.

 

Offenbach est le compositeur phare de ce spectacle ; notons également Lehar, Verdi, Noël Roux.

 

Les choix musicaux sont liés à un ordre chronologique simple : le prélude nous parle des achats en vue de la confection d'un repas ( air de Ciboulette, la maraîchère, « Notre dame des halles », Offenbach ). Puis la fruitière rentre chez elle et débute les préparatifs dans l'attente de son mari qui ne viendra pas ( « Le jambon de Bayonne », « Le Grill »). Vient ensuite le moment d'un toast avec le public ( Brindisi de la Traviata ) pour acter un plan diabolique : la recherche d'un amant par vengeance. Boissons, desserts et amants vont alors se succéder sous fond d'ivresse.

On conclut avec gaîté et brio.

 

 

Prise individuellement, chaque scène peut se suffire à elle-même : il est donc possible d'envisager le spectacle en saynète au court d'un repas ou bien sous la forme d'attraction festive sur un marcher, un apéro-concert ou tout événement en rapport avec la gastronomie.

(« Opérette Gourmande »; opus II, voir Repas à thèmes).

 

Décors et costumes

hauts en couleur

 

Le spectacle, dynamique, alterne des moments majoritairement chantés, parfois parlés, mais toujours théâtraux ainsi que des changements de costumes chorégraphiés sur de la musique orchestrale, encore une fois d’Offenbach.

Ces costumes correspondent à l'évolution du personnage au sein de la narration : naïve au marché, généreuse et dévouée en cuisine, vengeresse en soirée; on évoque donc la femme idéale onirique empreinte d'une vision céleste de l'amour opposée à lune femme fatale, diabolique et insoumise …

Le décor, esthétiquement accordé aux costumes, permet de distinguer trois espaces : cuisine, salon, dressing.

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« Opérette Gourmande », Le dîner-spectacle

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Une version du spectacle destinée à l'attraction festive d'un repas ou d'un événement.

C'est une prestation plus proche de la musique d'ambiance, de l'improvisation, de l'animation.

Il n'y a pas ou peu de décor et un système de saynètes indépendantes.

Voir notre page : « Repas à Thème »